On a eu un peu chaud, mais ça y est, nous sommes propriétaires, depuis hier 17h00 !

Avant-hier 15h00, Delph m’appelle : « Je viens d’aller voir le banquier, il n’a pas l’accord de l’assurance … « .
Bon, on reste calme, il est vrai qu’avec mon dos en papier mâché, on s’attendait à quelques problèmes avec l’assurance.

Deux solutions : 
 – modifier l’acceptation du prêt en fonction de la décision de l’assurance en acceptant le crédit quelque soit le montant de l’assurance (de cette manière la banque peut débloquer les fonds, mais on ne connaitra pas le montant de l’assurance, pas bon), 
 – deuxième solution : repousser encore la signature après avoir assassiné le banquier (si si, on a appris qu’il a quand même attendu le 4 janvier pour envoyer les questionnaires médicaux que nous avions rempli le 17 novembre !!!).

Résultat : on a choisi la troisième option, on a pris en otage le banquier, et Delph a passé l’après midi à téléphoner à l’assurance pour trouver une solution.

Hier 12h00, bonne nouvelle, on a la réponse de l’assurance. Enfin pour être plus précis, l’assurance a donné sa réponse, elle va nous envoyer un courrier avec AR pour notifier sa décision.  » Euh, oui mais là on signe dans 4 heures ! « .

13h30, à une demi-heure d’un entretien d’embauche ; oui comme j’avais peur de m’ennuyer le jour de la signature, j’ai placé un entretien d’embauche à 14h00. En réalité, j’avais posé mon après-midi pour la signature, et comme je cherche plus ou moins à changer de boîte (ben attendez ça fait déjà 6 mois que je suis dans l’actuelle !!!), j’en ai profité pour caser un entretien. 13h30 donc, Delph m’appelle  » bon, je me suis arrangée [NDJ : ????!!!!!!!??!], dès que tu sors de ton entretien, tu viens à la banque. « .
15h30 : sortie de l’entretien, je fonce à la banque, là on refait un papier, on signe … Et 16h10, on ressort de la banque, AVEC LE CHEQUE !!!

16h30 : arrivée chez le notaire, et 17h15, on en ressort propriétaire !

19h00 – 1h00 du mat’ : vidage de quelques BIB de rouge avec quelques futurs aides de travaux.

P.S. : on a relâché le banquier dans la soirée.